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Contractuel-les enseignant-es dans le 2nd degré
Professeur des lycées professionnels
Avec le départ de M. HUCHON, président du conseil régional, nous pouvons considérer que les services du Val de Marne sont devenus les plus durs de l’académie de Créteil quand il s’agit de traiter les problèmes RH des agents d’EPLE :
ATTEE – état des
lieux !
La
DRH/D.E.C du conseil
départemental,
toujours
aux petits soins pour les petits chefs !
-
refus d’écoute ;
-
sanction régulière ;
-
ton inapproprié pour
s’adresser aux agents ;
-
infantilisation ;
-
intimidation et
menaces ;
-
etc.
FAIRE
VALOIR SES
DROITS DEVIENT UNE FAUTE PROFESSIONNELLE POUR LE DEPARTEMENT !
Rien de cela au CD94.
Au contraire !
A ce mépris de type
« ressources humaines » s’ajoute le
non remplacement des personnels absents, ce qui créé une surcharge
de
travail, car ce sont les agents qui se substituent à leur employeur
pour
assurer la continuité du service, au risque d’y laisser leur santé tant
physique que psychologique, contrairement à ce que prévoit le code du
travail
(transposé dans la fonction publique - art. L4121-1).
Ces manques de
considération cumulés démotivent les personnels.
services de
Or, il s’avère que ces fameuses supérieures
hiérarchiques ne le sont en aucun cas, puisqu’il s’agit de personnels
administratifs d’intendance et de secrétariat. Le chef d’établissement,
au
mépris le plus total du code de l’éducation, a décidé de les nommer
« gestionnaires » par intérim.
Contacté à cet effet, le rectorat n’a pas
confirmé
la position de la hiérarchie du collège.
Pour le CD il semble acquis que n’importe qui
se
situe en position hiérarchique des agents. (le même constat est fait
pour les
Lycées de
2
– d’avoir fourni un
nouveau passe général à un surveillant (qui avait l’ancien) pour qu’il
puisse
laisser entrer les élèves dans le collège
3
– de ne pas se
souvenir ce qu’il était advenu d’une serrure démontée et qui était
devenue
inutile. Le principal prétendant qu’il avait mis en danger la sécurité
du
collège.
REPROCHES
FAIT À NOTRE COLLÈGUE
PAR
il
est également demandé à M. X de cesser
d'interpeller la communauté éducative.
Il
est utile de
rappeler que les ATTEE font partie de la communauté éducative : (article L913-1 du code de
l'éducation, art. 2 du décret du 30/11/1983, loi du 13 août 2004)
Des rapports ont été demandés à 3 collègues,
dont
deux ne savent ni lire ni écrire, et que la troisième a obtenu une
promotion
suite à la rédaction de ce rapport.
Le climat est tel dans ce collège et au
département
que les collègues susceptibles de contredire ces rapports craignent de
s'exprimer.
Depuis plusieurs années, ce collège souffre
d'un
absentéisme très important. Il est arrivé que tous les personnels
soient en
arrêt de travail.
Seule sa parole est crue contre celle des 30
autres.
Comme quoi, le conseil départemental sait
être
conciliant avec certains. Ce qui dénote un favoritisme certain pour ne
pas dire
une forme de clientélisme.
Le président
du conseil général a été alerté à plusieurs reprises.
Cette affaire illustre bien que les agent-e-s
des
collèges ne peuvent pas compter sur leur hiérarchie pour défendre leurs
droits
et leur sécurité. Puisque en l'occurrence, c'est le rectorat qui est
intervenu.
- les personnels de direction sont trop
conciliants
avec les agent-e-s ;
- avant, pour être sanctionné à l'éducation
nationale, il fallait avoir tué quelqu'un. Maintenant, ça va changer.
- employer un ton méprisant et rabaissant en
s'adressant aux agents…
- on peut regretter le départ de deux
responsables
de groupement qui respectaient les agent-e-s pour d'autres services,
- une autre qui posait de réels problèmes a
pris sa
retraite.
Pour les personnels titulaires, moins de
temps de
présence des contractuel-le-s : 35 heures semaine et moins de
personnels
durant les grandes permanences.
Cette mesure, prise contre l'intérêt des
personnels,
leur qualité de vie et leur santé, serait justifié par des mesures
budgétaires.
Quand on connaît la gestion hasardeuse en
matière de
marché publics, par exemple, du conseil départemental, nous pensons que
des économies
pourraient être réalisées ailleurs.